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Bienfaiteurs…
Quand cette messe a-t-elle été instaurée et pour quelle raison ?
Il y a quatre ans, Mgr Aubertin a décidé de célébrer chaque année une messe pour toutes les personnes qui aident le clergé par leurs dons, leur legs, et leur temps donné à la mission confiée aux disciples : "Allez enseigner les peuples, de toutes les nations faites des disciples".
Comment devient-on bienfaiteur ?
Sont bienfaiteurs du diocèse toutes celles et tous ceux qui donnent de leur argent (dons et /ou legs) ou de leur temps et de leur énergie au diocèse.
Tout le monde est donc concerné…
Faire un don, un legs, donner son temps, c’est en quelque sorte, être missionnaire ; signifier qu’il y a quelque chose de fondamental qui guide notre vie, et que l’on souhaite faire partager.
Actuellement, au niveau national, l’Eglise incite les fidèles a se poser la question des legs. Là-encore, qui est concerné par ce dispositif ?
L’Eglise vit grâce à l’argent donné par les fidèles. Parmi les possibilités de dons, il faut faire une mention toute spéciale aux legs (dons faits par testaments). Le legs à l’Eglise est un acte missionnaire ; c’est un témoignage de Foi auprès de ceux qui nous survivront et le signe de notre volonté de transmettre à nos descendants (via les prêtres et religieux dont nous finançons ainsi la formation) la Foi que nous avons reçue.
Peut-on donner lorsqu’on a des enfants, petits-enfants… sans pour autant les priver d’une part d’héritage ?
Pour les personnes sans enfants, des mécanismes fiscaux permettent de léguer ses biens à l’Eglise sans AUCUNEMENT léser neveux ou nièces.
A qui faut-il s’adresser pour en savoir plus sur ce dispositif ?
Je suis à la disposition de toute personne qui souhaite étudier la question : 02 47 70 41 29.
Enfin, sans legs, notre diocèse parviendrait-il à boucler son budget ?
Le diocèse ne pourrait pas boucler son budget s’il n’y avait pas les legs qui représentent bon an, mal an entre 500 et 900 000 euros.
B.V.
A noter : La messe annuelle pour "les bienfaiteurs du diocèse" sera célébrée en l'église St-Etienne, mercredi 28 octobre, à 11h, par Mgr Aubertin.