Le Denier

Comment, cette année, ce Denier est-il "récolté" ?

La campagne a débuté par l’envoi d’un mailing, fin février, et se poursuivra durant le mois de mars avec, notamment, un appel en paroisses le week-end des 5 et 6 mars. Il est prévu, au total, près de 80 kakemonos, 700 affiches (A4 et A3), 20 000 tracts « paroisses » (pour l’ensemble de l’année) ainsi qu’une surcouverture agrafée au supplément TV de la Nouvelle République (tiré à 69 000 exemplaires). Enfin un second mailing, grand public, sera envoyé à 20 000 foyers d’Indre-et-Loire.

Qui voit-on sur le visuel ?

Un vrai prêtre, à la sortie d’une église de Touraine, en vraie situation "d’accueil", photographié par un paroissien,  à la sortie d’une messe, en novembre 2015. Ce n’est donc ni un photomontage, ni une mise en scène.

On y voit aussi des personnes de tous âges…

Oui, car le prêtre est sollicité par toutes les générations, et dans toutes les situations familiales, professionnelles, ou de santé. C’est pour toutes ces personnes, quelles qu’elles soient, que les prêtres ont choisi d’être prêtres. Ils sont "à votre service".

Sans ces personnes, par conséquent, un prêtre n’aurait pas de quoi vivre ?...

Et oui ! Aussi bien d’ailleurs d’un point de vue spirituel que matériel, car il n’aurait même pas les moyens de sa formation permanente ni de sa vie de prière.

Il faut rappeler avec force que l’église, en France, ne reçoit aucune subvention de l'État ou du Vatican : elle ne vit que grâce aux dons, et le Denier est l’une de ses principales ressources.

B.V.

CLIQUEZ ici pour faire un don au DENIER de l'Eglise.