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Sur les pas de saint Martin...

Quelque 400 catéchistes de la Province ecclésiastique sont attendus, à Tours, dimanche 22 novembre. Entretien, à cette occasion, avec Valérie Raguin, responsable du service diocésain de catéchèse…

Est-ce la première fois qu’un tel pèlerinage a lieu ?

En effet, l’idée de ce pèlerinage a été lancée par les services de catéchèse de la Province (qui regroupe les diocèses de Blois, Bourges, Chartres, Orléans et Tours) il y a environ un an et demi. Les évêques ont suivi !

Quels objectifs visez-vous à travers celui-ci ?

Ce pèlerinage nous donne l’occasion de faire découvrir saint Martin et de nous réunir, tous ensemble, autour d’une grande figure. Il permettra aussi de montrer que les « forces » mises en œuvre pour l’annonce de la foi sont conséquentes… et que nos évêques y attachent une grande importance. Quatre sur cinq seront d’ailleurs présents ce jour-là.

Quels aspects de la personnalité de saint Martin allez-vous développer ?

Il y en a cinq: le catéchumène, le serviteur, l’évangélisateur (catéchiste), le priant et l’évêque.

A quels moments seront-ils développés ?

A différents moments. L’accueil des pèlerins se fera à la Basilique Saint-Martin à partir de 9h30 puis une « vie dialoguée de saint Martin » sera présentée à 10h15. A 11h, nos évêques célèbreront la messe puis tout le monde rejoindra son lieu de pique-nique. À 14h15, des temps d’enseignement seront proposés, à tour de rôle, par nos évêques, dans la cathédrale ; chaque « temps de catéchèse » étant entrecoupé de carrefours entre catéchistes et de temps de méditation.

La Fraternité Saint Martin viendra apporter son témoignage, et la chorale Saint Kizito, sera également présente lors de l’entrée dans la cathédrale.

Qu’attendez-vous d’une telle journée ?

A la fin de ce pèlerinage, on aimerait que les catéchistes réalisent qu’ils ne sont pas tout seul (même si c’est parfois l’impression qu’ils ont) et qu’ils soient convaincus que les diocèses rendent grâce pour leur engagement et leur fidélité. Enfin, le monde d’aujourd’hui n’est plus celui des années 70 ou 80. Ils doivent comprendre qu’à l’heure actuelle, le Christ nous attend partout… comme Martin, à son époque !

B.V.